
Autoportrait en Apple führer © David Noir – “Les Camps de l’Amor”.
Je témoigne de là où je suis
En bon archéologue, je crée ma ruine.
La solitude des champs de l’enfance n’est pas celle que l’on arpente épisodiquement à l’âge adulte. Lire la suite
Autoportrait en Apple führer © David Noir – “Les Camps de l’Amor”.
La solitude des champs de l’enfance n’est pas celle que l’on arpente épisodiquement à l’âge adulte. Lire la suite
Poupées Prologue © David Noir – “Les Camps de l’Amor”
Tout est à l’image de la figuration révolue d’un certain déroulement du temps. Chaque époque a ses techniques et ses modes de narration. Ils sont les reflets d’une unique vision perçue à travers un prisme propre à une période donnée. Lire la suite
Man power © David Noir – “Les Camps de l’Amor”.
Ça + ça + ça + ça. Je ne le décide pas. Je n’en suis pas le maître, juste l’orientateur. En est-il de même pour tout le monde ? Je l’ignore. Personne ne semble parler de ça. Lire la suite
So Sade © David Noir – Les Camps de l’Amor
Inutile de le faire dans tout autre cas. Inutile, inconcevable, indécent, pollueur à tout crin, inconséquence stupide de le faire pour produire du mot, faire joli, se donner une contenance ou se targuer d’avoir quelque chose à dire. Non, on n’a rien à dire sauf lorsqu’il est parfois nécessaire de se fendre d’un verbiage amoureux. Mais ça, ce n’est pas écrire. Lire la suite
C’est ce que je crois, au-delà d’une formule de comptoir (bien que l’on parle sûrement assez peu des artistes aux comptoirs), prononcée à l’emporte-pièce.
Ils crèvent comme tant d’autres espèces animales qui voient leur territoire se restreindre à cause de l’envahissement de leurs terres par les hommes.
David Noir – Retour d’Erosphère
Bien qu’ayant vécu un triolisme amoureux fondateur et quelques autres passions menées activement de front, je ne suis pas un libertin. Pourquoi ? Parce que, très vite, les relations aux autres m’envahissent mentalement et mon travail en est perturbé. Lire la suite
David Noir – Scrap – Emma
Sa bouche formait des mots, mais leurs sonorités étaient inaudibles, absorbées dans la masse, la masse pulpeuse de son visage bien nourri, pareil au masque satisfait d’un Gille de Binche. Lire la suite
Anne Dreyfus – Le Grand Ecart
Un soir, mortelle et claudicante reconstitution d’un ballet de Pina Bausch. Administration du théâtre en souffrance qui les reçoit : pas mieux. Le grotesque de toutes parts est à son comble. Le pleurnichement et la beauté sont censés se rejoindre en un suprême hommage au labeur.
Quelques jours plus tard, l’inverse. Lire la suite
Elle est moins prétexte à l’obscurantisme des peuples centrés sur le folklore de leurs acquis culturels. À mes yeux, toute culture ne sera jamais qu’un pauvre folklore face à la civilisation de l’élaboration de soi-même. Lire la suite
Mesdames, Messieurs,
Suite à un mouvement de grève d’une certaine catégorie d’un genre personnel, nous ne sommes pas en mesure de vous présenter le programme prévu.
Veuillez nous excuser pour le gène occasionné. Lire la suite