Organigramme prospectif du projet Toison à ses début en 2007
Qu’on me pénètre, « why not ? »
Mais que je balise le chemin, ça me fait bâiller.
Trop usé pour vraiment écrire aujourd’hui. Enfin, faux de l’exprimer ainsi ; de l’écriture, il en suppure tout au long de la journée, la preuve, comme d’une plaie qui ne cautérise jamais vraiment à force d’être grattée et que la croûte en soit arrachée par agacement ; tout le monde connaît bien cette histoire. D’ailleurs les histoires – je parle de celles des êtres humains et même de celles qu’ils se plaisent à raconter et revendiquer comme de … je sais pas quoi ; de l’art peut-être ; du roman, du théâtre, du cinéma, de la peinture … j’en sais rien ; je m’en fiche un peu d’ailleurs – bref des histoires, c’est bien ça qui est toujours lourd à mettre en forme. C’est ça qui m’a toujours pesé et que je ne souhaite jamais faire. Mais malgré tout, il en reste encore quelque chose qui s’impose ; une volonté de « dire » et communiquer sous un mode accessible. Lire la suite