David Noir - Autoportrait en quête d'identité

David Noir – Autoportrait en quête d’identité

PARQUES – MODE D’EMPLOI – partie 1

En complément de ce que j’ai déjà pu en dire, je vais tenter de décrire au plus près à travers quelques articles, ce que devrait être pour moi, l’expérience des Parques, dont la création aura lieu dans moins d’un mois maintenant Lire la suite

David Noir - Cousteau

David Noir – Cousteau

Oh les banalités ! Oh les conneries !

Oh j’en ai marre, mais ce que j’en ai marre !

ça pue ; ça pue ; ta connerie d’expression au poste qui va tout droit dans ta connerie de micro que tu tiens à bout de main. Ta gueule une bonne fois, putain ; ta gueule ; ta gueule ; ta gueule. Comédien, écrivain, artiste, politique, sociologue, psychanalyste, ouvrier, syndicaliste, pauvres et riches, mais fermez vos gueules et qu’on ne vous entende plus. On. Moi. Le monde du silence. Cousteau sans son chapeau et le son baissé. Juste les poissons. Lire la suite

frasq - Rencontre de la performance - 4ème-édition

frasq – Rencontre de la performance – 4ème-édition

Avant-hier soir, inauguration de la 4ème édition de [frasq] au Générateur à Gentilly

Je ne viens pas parler des artistes invités, ni décrire leurs agissements ; le programme est là pour ça et la performance est un art qui requiert votre présence in vivo si vous voulez savoir de quoi il retourne. Je veux simplement donner suite à quelques notes prises ce soir là en plein cœur des performances qui s’exprimaient de concert ou plus exactement, en un concert de formes qui s’imbriquaient naturellement. Ces notes s’inscrivent pour moi, dans une continuité construite qui me lie subtilement au Générateur et à Anne Dreyfus qui dirige ce lieu, et ses équipes. Lire la suite

Enlacement - Valérie Brancq - David Noir

Enlacement – Valérie Brancq – David Noir

Nos corps nus, nos sexualités, les fantasmes et tabous générant notre excitation…

bref, nous et nous, en bref

Il semble que les représentations de nos propres corps, arrières pensées et pulsions continuent de nous poser des problèmes avec leurs images ou disons plutôt, avec la nôtre, celle de notre espèce. Lire la suite

Carolina - Miguel-Ange

Carolina

Hier, invité du Carolina Show au cinéma Chaplin pour parler du « Nouveau Testicule ». Surprenante hôtesse, intervieweuse bienveillante ou bulldozer, selon le quidam assis en face d’elle, j’ai eu la chance d’avoir sa sympathie et bénéficié de ses questions pertinentes sur mon travail ; de celles qui permettent de s’exprimer sur des thèmes paraissant improbables à aborder entre les nombreux numéros de la soirée, prestidigitation mentaliste, humoriste féminine, chanteurs lyriques ou de variétés. Lire la suite

Prometheus - Jan Fabre au Théâtre de la Ville

Prometheus – Jan Fabre au Théâtre de la Ville

Vu Jan Fabre

Prometheus-Landscape II au Théâtre de la Ville

Après un texte et une interprétation très prometteuse en ouverture, par une comédienne magnifique et droite, posant les questions essentielles à la sauvegarde de notre humanité : “où est donc ce héros qui nous sauvera, qui est-il, comment le désirons-nous ?”,  les réponses succédant à l’ouverture du rideau sont plus que décevantes. Lire la suite

Une visite inopportune - Copi - Athénée

Une visite inopportune – Copi – Athénée

Je n’ai pas l’intention d’utiliser ce blog pour y publier de la critique de spectacles et d’ailleurs je ne suis pas payé pour ça. Néanmoins je post ici une simple réaction et non une analyse, à la pièce de Copi, « Une visite inopportune » montée à l’Athénée et dont j’ai vu une représentation hier. Lire la suite

Le concile d'amour - Anna Brun - No-Naime Cie

Le concile d’amour d’Oskar Panizza – Anna Brun – No-Naime Cie

Fin de la lecture de Archimondain joli punk de Camille de Toledo

avec sa couverture de Kermit aux seins nus

offert par Sonia Codhant.

Comme quoi les Muppets ont encore leur mot à dire. Aussi triste et mélancolique qu’étrangement rafraîchissant ; la résistance au monstre fluide, empathique et pandémique de la mondialisation depuis les années 80. Donne envie de lire Taz. Une pensée pour Tarkovski et la zone de Stalker. Je me sens encore une fois en retard ; comment se fait-il que rien ne m’ait éclairé à la parution du livre de Hakim Bey en 1985, ni depuis. Lire la suite